Nom & Prénom

© N-U.Koalz.Gaki.

Carte d'Identitée ❯ NOM :  . Aburame ❯ PRÉNOM :  Nijiki ❯ SURNOM :   / ❯ SEXE :  Masculin ❯ AGE : 25 ans. ❯ CARACTÈRE POSITIF : Motivé, ne lâche rien, orgueilleux. ❯ CARACTÈRE NÉGATIF : Revanchard, tueur au sang froid. Manipulateur, drogué, déchet physique et mental. ❯ PARTICULARITÉ :   Membre du clan Aburame, manipulateur d'insecte ❯ GRADE SOUHAITÉ : Junin . ❯ CAMP : Iwa Gokuni SON NINDO / OBJECTIF Je mènerais mon clan sur le chemin de la vérité. Seule une chose compte. La domination du monde.

VOTRE HISTOIRE

Une explosion. Un amas de fumée s’élevant dans le ciel telle la flèche d'un dieu colérique. Puis le souffle, les flammes. Le jour du fléau, j'avais quinze ans. Comme beaucoup de jeunes de mon âge, j'ai été formé aux arts shinobis. Notre pays, notre monde était entré dans une nouvelle ère peu de temps après ce nouveau siècle. Comme un symbole un peu en retard. Chaque jour, de nouvelles technologies étaient développés, chaque jour le quotidien du commun semblait pouvoir s’améliorer. Sauf que. Sauf que...

Par chance, mon clan était loin du site de la catastrophe. Malgré l'abolition des villages ninja, nombreux sont les clans qui ont continué à subsister, pratiquant leurs arts en secret, jalousant les pouvoirs des autres. Ironiquement, alors que mon nouveau village,Gokuni prône le retour à la période des villages Shinobi, cet « entre-deux-guerres », bien qu'on parle ici de guerre éthique, morale, cette période donc a vu nombre ninja revenir à la base du système Shinobi. Celle de la guerre des clans. Celle qui en a vu tant mourir.

Mais je n'ai jamais été un grand suiveur. La technologie, ce nouveau monde que proposait Daitokai m'a toujours attiré. Pourquoi refuser l’évolution? Puisque c'est à portée de main, pourquoi la rejeter si négligemment ? Ha oui... le danger. En effet. Disons que certains sacrifice est nécessaires pour le bien commun. Le seul souci étant que personne n'a pu mesurer quels sacrifices étaient nécessaires. Le fléau est venu d'une erreur. D'un accident incontrôlé. Pour avoir fait mes classes dans cette ville semblant venue du futur, je ne sais que trop bien quel genre d'individu peut y exister. Quels genres de cerveau peuvent y exister. Des malades, des fous.

Car il ne faut pas s'y tromper. Si la technologie m'attire, celle-ci doit être contrôlée. Des mesures de sécurité doivent être placées pour empêcher que, d'une certaine manière, elle mord la main qui l'a créé. J'ai une position particulière dans mon village. Je suis tiraillé entre mon envie de voir le monde évolué et effrayé à l'idée qu'un jour, l’évolution, les « machines » se rebellent et nous exterminent tous. Je parle aussi bien au propre qu'au figuré. Un accident est si vite arrivé, on ne le sait tous que trop bien. Qui nous dit que certains villages pour pas dire UN village, réussissent à créer des soldats entièrement mécaniques, se déplaçant, réfléchissant par leurs propres systèmes? Que faire alors? Qu'arriverait-il? Est-ce que le nouveau monde Shinobi va s'allier pour faire ace à la menace comme jadis? Ou va-t-on juste se blâmer les uns les autres et tous brûler dans un nouveau fléau?

Je suis vraiment curieux de voir la réponse à cette question. Un jour peut-être... Toujours est-il qu'entre mes deux pôles, j'ai tendance à privilégier l'absence de technologie qu'une technologie omniprésente et incontrôlée? Voilà une des grandes raisons pourquoi j'ai suivi les « miens » à Gokuni et n'ai pas fait route jusqu'à Ikoukei, eldorado des méchakra. Un terme qui fait mal aux oreilles si vous voulez mon avis, mot-valise entre mécanique et chakra. Comme je le disais, mon clan était loin du site lorsque l'explosion a eu lieu. Toujours est-il qu'on en fut fortement affecté, comme tout le monde. As-ton jamais voyait une explosion de cette ampleur?

Les... « miens » ne s'en sont que plus retranché vers la nature, vers les anciennes voix. Alors, quand le village de Gokuni fit créer, non loin de nos larges forêts qui plus est, de larges débats eurent lieu. Le conseil des anciens étaient partagé entre continuer à s'isoler, disparaître du monde pour vivre au plus proche de la faune et de la flore. Les autres, furent d'avis de rejoindre ce nouveau phare de la civilisation Shinobi. Pensée fortement appuyée par les souvenirs...que dis-je, les légendes de Konoha. Le village caché derrière la feuille avait été un berceau pour les manipulateurs d'insectes comme de beaucoup de clans, créant un page d'or via la paix et la prospérité. Étrangement, le clivage ne fut pas basé sur l'âge. On aurait pu penser que les anciens, plus réactionnaire ne veuille pas quitter leurs régions boisées tandis que les plus jeunes, souhaitaient sociabiliser, connaître et expérimenter de nouvelles possibilités.
À l'époque, j'avais dix-sept ans. Étant passé par tous les grades lors de mon éducation à Daitokai, de genin à jonin, je possédais un statut particulier. Si je ne pouvais voter, en faisant partie du conseil des anciens, je possédais le droit d'exprimer mon option quant aux sujets décidant à la destinée du clan. Bien entendu mon avis ne fut pas pris en compte. Alors que je leur parlais, je les voyais se retenir de me déchirer la gorge. Faut dire que je m'étais déjà fait une réputation plutôt exécrable. Lorsque tout aburame protègent la vie et notamment les insectes, allant jusqu’à sacrifier de son chakra et donc de son énergie vitale pour les nourrir, je n'en ai jamais eu cure

Je vous l'ai dit, il existe des personnes, des choses et des animaux qui ne servent qu'un seul but : être des cobayes. Cochon d'inde, expériences et donc pour moi, insecte. Ses petites bestioles parcourant mes muscles, ne sont que ce qu'elles sont. Des bêtes. Tel un cheval tirant une charrue, ils ne sont là que pour m'aider. Ai-je vraiment tort? Considérez ça comme du simple bon sens, un instinct de survie. Combien de fois ai-je vu mes camarades de clan partir dans tous leur état cars une araignée avait mangé l'un de leurs vers. Ou s’exciter pour la simple préservation d'un arbre particulièrement nutritif, dont l’écorce contient nombre de leurs « amis ». Rien que dire ce mot me donne envie de vomir.

Et pourtant c'est moi qui me suis fait huer, rejeté. Lorsqu'en ce jour fatidique, j'ai suggéré de garder notre indépendance pour aller chercher les avantages de ces deux villages majeurs venant de naître. La technologie de Rikoukei avec la prudence de Gokuni. Les huées se sont traduites en rugissement, en cri de haine. À leurs yeux, je suis devenus l'avatar du fléau. Celui qui était prêt à laisser la forêt, leurs forêts brûlée avec bien sûrs leurs précieux symbiotes. Si leurs paroles n'avaient pas laissé des cicatrices purulentes sur mon âme, je leur aurais ri au nez.

Le choc a été terrible. Jusqu'à ce jour-ci, malgré le mépris que je leur adressais, malgré mon expérience du « monde extérieur », ils n'en restaient pas moins mon clan, ma famille. C'est comme perdre un bras du jour au lendemain. Rien ne vous prépare vraiment à ça. Tous ces dos tournés, ces portes claquées au nez. Tel un spectre, une âme désincarnée, j'ai suivi leur transhumance de loin. Bien sûrs, ils m'ont remarqué mais ne pouvaient vraiment m’empêcher de les suivre. Tant que je n'avais plus aucun contact avec eux, cela restait en accord avec leurs lois.

Ainsi j'ai suivi le convoi de centaines d'être humain qui  étaient venu chercher refuge. Comme souvent dans ces cas-là, l'afflux de personnes sans argent, sans précaution, la masse gargouille aux alentours des axes principaux. Les taudis, la rue. Appelez ça comme vous voulez. Les faits sont que j'ai aimé cette ville qui n'en était pas encore une et les coupe-gorge qui surgissaient de chaque croisement. Je me suis perdu dans les tripots, joué tout ce que je l'avais et l'ai perdu trois fois. j''ai connu les plaisirs des passes rapides derrières un voile et les diverses drogues à base de chakra refiler sous le manteau. Aidé de mes insectes, j'y aie fait mon trou et ce, à plus d'un sens. Espionnage, chantage et menace, quoi de plus facile quand tu possèdes mes capacités.

D'une certaine façon on peut dire que j'y ai trouvé une nouvelle famille. Non pas dans l'investissement émotionnel mais dans les parallèles faciles que je pouvais faire avec tous ces bannis, ces blessés et autres déracinés. Dans les habitudes prisent pour survivre pour tous les moyens. Car là où il y a sécurité et sûreté, il existe toujours aux bords chaos et dangers. Loin des réserves de mon ancien clan, loin de leurs timidités ou leurs arts du secret, j'ai pu facilement me faire remarquer des personnes d'influences. Après tout, j'étais jonin du temps de la cité détruite !

Le temps passant, 8 années, j'ai finit par m’intégrer à ce nouveau village, y trouver mes repaires. Pourtant, dans un coin de mon âme, restait toujours le symbole de mon clan, gravé au fer rouge. Pas un symbole de fierté. Non. Un symbole de rage, tiré du rejet. Rien que d'y penser j'ai le sang qui me monte à la tête. J'ai « envie de mordre » comme diraient certains hommes-chien. Une rage qui s'est alliée à une volonté froide. Celle de revenir à l’intérieur du clan. Pire que ça. En prendre la tête. Le sortir de tous ses concepts usés et inutiles. Amené les miens sur le chemin de la nouvelle ère. Leur montrer à tous qu'ils avaient la tête dans le sable, refusant la réalité. 




Leur montrer à tous que j'étais le seul à avoir raison.

Qui es-tu ? Dans la vrai vie !

Prénom/Pseudo : Makoiyo, Boogie, Dieu pour les intimes. Tu as quel âge ? 25 ans Tes disponibilités ? Tout les jours. Tu nous as trouvé où ? J'ai été recruter par un poisson rouge. Il m'a dit « hey, tu pourras bientôt faire un perso naruto » Ensuite je l'ai tannée pour que je sois dans sa team. Y a deux mecs qui ont suivit l'appel d'air. Et t'en penses quoi ? Contexte et villages très, très orignaux, si le choix a pas été dur, j'ai eu pas mal d'idée pour plein de persos dans chaque XDD J'attend quand même de voir l'utilisation mecha/robot (parce que ouais, cashou m'a vachement bridé dans mes envies le salaud ! ) T'as un autre compte ? Lequel ? Un gros vieux de 42 ans qui se fait passer pour le maître du jeu (ou pas) Mais encore ? *o* Comment on peur préférer bleach à one piece sérieux?.